• Lundi 4 novembre, la fnac de Bercy et les éditions J'ai Lu donnaient rendez-vous à tous les amoureux de la science-fiction pour une rencontre dédicace avec le père d'Ender : Orson Scott Card.

    En effet, avec la sortie prochaine au cinéma de l'adaptation de son livre la stratégie d'Ender, l'auteur faisait un crochet par Paris, après un séjour aux Utopiales.

    La recontre débutait par un entretien avec l'auteur, avant de passer à la dédicace proprement dite.

    L'auteur a fait l'effort de nous accueuillir individuellement en français, se prettant volontier et avec humour aux photos.

    Orson Scott Card à la fnac de Bercy


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    Salon du fantastique de Paris

     

    Durant ce week-end de trois jours s’est tenu porte de Champerret la deuxième édition du Salon du Fantastique.

    Pas disponible et ayant fait un passage éclair le samedi, voilà en quelques mots le résumé d’aujourd’hui.

    Entre deux parties de jeux de rôle ou autre, nous nous sommes baladés dans les allées de ce salon où cohabitaient artisans (cuire, alcool, bijoux), magazine (jdr magasine pour n’en citer qu’un) et bien évidemment quelques maisons d’éditions.

    On retrouvait donc pour cette seconde année les éditions Asgard et leurs auteurs. Ayant eu le plaisir d’en rencontrer certains dans d’autres évènements, nous avons commencé notre séance de dédicace par Anthelme Hauchecorne.

    En plus d’être une des plus jolie plume qui m’est été permis de lire, je dois ajouter que l’auteur sait donner envie à son lectorat  de lire ses écrits. J’en veux pour preuve, qu’à peine les portes du salon refermées, et avant même d’avoir atteint notre doux foyer, nous étions en train de commencer la lecture de Punk’s not dead.

     

    Salon du fantastique de Paris

     

     

    Ajouter à cela un auteur ouvert à la discussion et qui en plus met son énergie au service de l’équipe (car chez Asgard les auteurs sont aussi VRP, vendeur…) et vous obtenez une première séance de dédicace réussie.  

    Un petit passage par le stand des éditions Argémios, où en plus des livres nous avons le plaisir de trouver de nombreux posters et cartes signés Mathieu Coudray (illustrateur de l’affiche du salon s’il vous plait !) et nous, enfin, je me suis rendu direction le Sud-Ouest ou plus exactement le fond du salon pour la dédicace de Sire Cédric.

    Salon du fantastique de ParisSalon du fantastique de Paris

    Au même moment, à quelques pas de là, se tenait la conférence sur la romance paranormale (dont vous trouverez un résumé ici). Alors qu’il était question de dinosaures et de romance (WTF ? Ou le plaisir de ne saisir que quelques phrases de-ci de-là), venait enfin mon tour de faire dédicacer le très bon de Fièvre et de sang.

    Ce fut un moment d’échanges très chaleureux. Je ne peux malheureusement pas retranscrire cet échange car je risquerais de spoiler les lecteurs de lenfant des cimetières ou ceux de fièvre et de sang. Disons simplement que nous échangeâmes sur  l’atmosphère des livres, sur le rugby (parce qu’Alexandre Vauvert me fait vraiment penser à un deuxième ligne)… à Toulouse.

    Avec tous les soucis qu’ont connu les organisateurs de ce salon , mais aussi avec la concurrence des Utopiales, je dois dire que ce fut une belle réussite et j’espère et j’attends une troisième édition de ce salon.


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  • Conférence modérée et animée par Valéry Revelut ( Rédacteur en chef d'Onirik.net)

     

    Résumé de la conférence sur la romance paranormale durant le salon du fantastique de Paris 2013

     

    Karen Harroch (co-fondatrice du Boudoir Ecarlate)

    Les frontières de la Romance paranormale ou Para Normal Romance ( PNR) sont floues en France. Elles sont confondues avec l’Urban Fantasy sous l’appellation bit-lit, alors qu’en réalité il s’agit d’un sous genre de la romance, caractérisée notamment par un happy end. Le principe : un couple par tome et des séries constituées de nombreux volumes.

    L’une des séries les plus longues étant le royaume des Carpates de Christine Feehan, plus d’une vingtaine de tomes.

    On trouve plusieurs sous genres de PNR :

    ·         la romance fantastique  caractérisée par un « héros fantastique », et dont la Confrérie de la dague noire ou  minuit sont autant d’exemples.

    ·         La fantasy romantique, exemple : de l’anciennement la collection Luna d’Harlequin ex la série Partholon de PC Cast et Lladrana de Robin Owens et chez J’ai lu l’épopée de Xylara d’Elisabeth Vaughan

    ·         La romance steampunk avec comme exemple la dame de fer aux éditions j’ai lu

    ·         La science-fiction romance exemple la série 2176 des éditions J’ai Lu

    En France on trouve 3 éditeurs qui ont chacun une collection destinée à la PNR.Tout d’abord Harlequin avec la collection sixième sens devenue la collection nocturne, les éditions j’ai lu avec la collection nouveau millénaire devenue la collection crépuscule et enfin les éditions Milady qui publient de plus en plus de PNR.

    Aurélie (site internet : chapitre 32 – facebook : Jeaniene Frost France)

    La série chasseuse de la nuit est une série de fantasy urbaine mais qui est proche de la PNR, ce qui s’explique par le fait que l’auteur adore la romance et que ses romans tournent plus autour de la vie de couple de kat et Bones que sur la vie de Kat.

    Sophie Jomain (auteure des séries Felicity Atcock et des étoiles de Noss head aux éditions Rebelle)

    Elle demande pourquoi les héros de ces séries sont « super tout » alors que dans la vie de tous les jours ont ne les trouve pas, et tant bien même nous intéresseraient-ils vraiment ?

    Karen :

    Elle précise qu’on en trouve de moins en moins, prenant pour exemple la confrérie de la dague noire et Zadist et ses nombreuses cicatrices.

    Aurélie :

    Chasseuse de la nuit c’est en réalité 60 % de romance et 40 % d’action. Ce sont les aventures d’un couple et non seulement de kat et en fait chaque tome tourne autour des problèmes du couple, qui sont des problèmes de couples ordinaires. L’intrigue va venir se mettre en place autour de cela. Cependant la romance n’est pas « cul-cul ». Les spin-off de cette série sont, eux, de la PNR. En conclusion, cette série est de la fantasy urbaine romance c’est-à-dire un style hybride comme son héroïne.

    Adeline Dias (auteure de Perception, En rage de toi aux éditions Valentina)

    D’habitude, c’est une auteure de romance contemporaine mais elle s’est mise à la PNR d’abord parce qu’elle en lit, ensuite parce qu’elle avait envie d’une histoire qui sort du quotidien. Pour elle la spécificité des auteurs français est la manière dont ils vont décrire les sentiments.

    Sophie :

    Quand elle a écrit Felicity Atcock, elle a voulu une anti-héroïne et un héros sexy mais insupportable. Elle ne pense s’être particulièrement attachée aux codes américains, alors que pour sa série les étoiles de Noss Head (qui est du young adult(YA)) elle avait repris « les codes américains de A à Z ».

    L’écrire PNR dans le  YA est forcément différente de la PNR adulte : le vampire qui vit la nuit quand les jeunes ne peuvent pas sortir cela n’a aucun intérêt !

    Adeline :

    Dans son livre il ne s’agit de créatures surnaturelles à proprement parlé, mais d’humains avec des capacités psychiques hors norme. Le roman est construit autour du secret.

    Sophie :

    La PNR YA en France est quasi inexistante c’est pourquoi elle a eu envie d’en faire tout en ne sachant pas si son livre fonctionnerait.  Elle ajoute que les héroïnes américaines ont tendance à un peu trop s’éloigner de l’humanité : elles sont trop fortes, trop puissantes, etc… D’où son envie de faire des anti héroïnes.

    Florence Lottin (Représentante des éditions J’ai Lu)

    (Répondant à la question relative à l’ouverture au profit des auteurs français.)

    D’abord parce que pas beaucoup d’auteur français osaient ou avaient envie de se lancer dans la romance quel qu’en soit le genre. Actuellement, on assiste à une saturation du marché « bit-lit », qui connait un léger déclin en faveur de la romance historique et romantica. Les américains plus facilement faire des mélanges de genre que nous en France où dans les librairies il y a une classification des genres.  

    Elle précise que l’objectif des éditions J’ai Lu, pour l’année prochaine sera de mettre l’accent sur les novellas.

     

    Résumé de la conférence sur la romance paranormale durant le salon du fantastique de Paris 2013

     

     

     

     

     


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  • Rencontre Eleonore Fernaye

    Lundi 7 octobre 2013, milady romance a organisé une rencontre avec leur nouvelle auteure francophone de romance historique Eleonore Fernaye. La rencontre a eu lieu dans un bar à coktail à l'ambiance cosy.

    Ce fut l'occasion d'en apprendre plus sur l'auteure et son oeuvre. Tout d'abord le nom de Fernaye est un pseudonyme qui vient du nom de la dernière demeure de Voltaire à la fin de sa vie. L'auteure est, entre autre, tradutrice de roman notamment pour Milady. Ce qui lui a facilité l'accès à Milady Romance, pour proposer son idée de romance. Eleonore Fernaye a commencé par écrire un blog lorsqu'elle était plus jeune, puis à 20 ans elle a écrit deux nouvelles, qui ne seront probablement jamais publiées. Scandaleuse Elisabeth est donc son premier roman.  

    Elle a toujours adoré la romance et en particulier la romance historique, qu'elle lisait en cachette car dans sa famille c'était mal vue. Parmi les auteures qu'elle apprécie tout particulièrement : Julia Quinn, Theresa Romain, Eloisa James, Sally Mckenzie, Victoria Dhal, Loretta Chase, Lisa Kleypas surtout pour sa série friday harbor, où l'auteure a passé une journée l'année dernière.  Elle lit également des romans contemporains, de la paranormale romance comme JR Ward, Lara Adrian ou Chloé Neil. Enfin, parmi ses livres préférés, on trouve Au bonheur des dames de Zola ou Les adieux à la reine.

    Rencontre Eleonore Fernaye


    En ce qui concerne sa série la famille d'Arsac, 2 autres tomes sont prévus. Il s'agit d'une série franco-américaine ainsi dans le tome 2 qui devrait sortir début 2014 et qui portera sur le personnage de Louis, l'intrigue se situra d'abord en amérique pour revenri en France.

    Par ailleurs, chaque tome est espacé du précédent. L'auteure a mis 4 mois à écrire le premier tome le soir et le weekend. 

     

    Eléonore Fernaye a voulu trouver une période qui intéresserait les français. Elle a fait le choix d'écrire une romance "à la française" car le marché est en pleine ouverture mais pour que cela intéresse aussi d'autre marché, elle a introduit la partie américaine. L'auteure a fait beaucoup de recherches pour écrire son roman, car elle avait sans cesse la peur de faire une faute historique. Par exemple, pour la scène du bal, elle a regardé beaucoup de vidéos sur Youtube.  

    Le nom d' Arsac vient d'un petit village du puy en velay.

    Pur son héroïne du tome 1, l'auteure ne voulait pas créer une un personnage qui lui ressemble même si elle partage avec elle certaines idées. Pour créer le héro, elle est partie de l'héroïne pour en faire un personnage contrastant avec elle. L'auteure a choisi de révéler le secret d'Henri à la fin, car elle craignait de le révéler trop tôt. L'héroïne du tome 2 devrait être plus sensible que celle du tome 1.

    Cette rencontre fut donc un très bon moment : agréable et instructif.

    Rencontre Eleonore Fernaye

    Chronique du tome 1


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